Un silence de mort raignait dans le couloirs, les rares fenètres situées sur les hauteurs n'apportaient que peu de lumière laissant ainsi l'obscurité assombrire le couloir interdit.
Issu d'une interdicion et d'une mise en garde faite il y a quelque années sur le couloir, le nom bien que dénué de touteautre fonction que de nomer, avait tout de même été laissé à ce passage qui bien "qu'interdit" était loin d'être laisser sur le coter par les élèves reconaissant en lui un sérieu racourci quand il s'agissait de ne pas être en retard au cour.
Bien que reprénsentant un racourci sérieu pour la majeur partie des élèves peu des ceux qui n'avaient pas atteint le quatrième voir la cinquième, songeaient à emprunter les passage.
En effet, de par son isolement et l'obscurité qui y raignait à tout heure du jour et de la nuit, ce lieu était le rendez-vous de bien des gens pour qui être seule ne fusse que quelques instants, était devenu une question existentiel.
Du trafique de farce et attrape, friandise en tout genre et autre marchandise qui orne encore le bureau du concierge, jusqu'au embuscades et mise au point entre élèves de force inégale en passant par les entrevue serrée que s'octroie les amoureux entre le cour d'histoire de la magie et celui de divination, ce lieu est une sorte d'allée des embrume version poudlard pardemée ça et la de murmures à peine audibles rappelant pour qui savait les déceler que les lieu étaient rarement désert.
Il n'était donc pas rare pour l'imprudent qui oserais passer par là de tomber sur des choses pas très catholique qui en traumatiserais plus d'un.
Les lieux résonèrent soudain d'un bruit que les plus agéris des élèves ne connaissait que trop bien et qui résonnait comme un signal d'alarme annonçant une catastrophe imminante.
Ce claquement à répétition était des plus significatif il ne pouvais s'agire que d'une seule chose, la seule dans toute l'école qui était crainte autant par les élèves que par certain professeur.
Seules certains élèves particulièrement judicieux avait réussit à se sortire de se mauvais pas avec un certain bénéfice mais la plupart ne jouissait jamais de cette chance.
Le simple fait de l'entendre signifiait qu'il était déja trop tard être façe au danger était inévitable à moin de ne pas être vu ce qui est fort peu probable, tout ce qui restait alors à faire c'est prié ou faire en sorte de ne rien avoir à se reprocher.
Le bruit se fesait de plus en plus pressent comme un compte à rebour annoncant un fléau tout proche, couvrant tout aur bruit de par son intencité et ce qu'il annonçais, les murmure aaus cessé, les chuchotement disparure et le silence devint aussi pesant que l'obscurité.
Soudain au bout du couloir une silhouette apparu, un viel homme vètu de blanc marchant avec un baton avançais lentement dans le couloir, Lazarus Hoberon co-directeur de l'école avait réduit l'allure, son baton, curieusement ne fesait plus de bruit en touchant le sol, lui qui avait l'habitude de s'éclairé son propriétaire dans les endrois sombre, n'émètait aucune lumière même pas une lueur.
La raison en était évidente, le professeur attendait de pouvoir débusqué un élève afin de pouvoir se distraire, "enseigner" et accéssoirement, faire son devoir de surveillant si toute fois il s'en rappelais le moment venu.
Il avait réduit son pas afin de faire duré un maximum de temps son passage dans le couloir èspérant tomber de mainère inopinée sur un élèves malencontreux qui passait pas la ou qui aurais au grand bonheur d'Hoberon, la bonne idèes de se manifester à lui.
Lun 19 Nov - 1:15