Recrutement de Modo's et Admin's

Crash ne possede aucun souvenir de son enfance, cependant je vais quand même vous raconter cette partie de sa vie...
La mère de Crash est morte du à l'accouchement prématuré de son enfant, le garçons fut donc élévé par son père, au début il s'occupait de Crash comme un père parfait, le garçons ne manquait de rien, mais malheuresement le chagrin d'avoir perdue sa bien aimmé fit peu à peu tomber le père de Crash dans le jeux et l'alcool. Très vite il croula sous les dettes de jeux et les empreins pour pouvoir jouer encore plus et s'acheter son alcool. Les relations entre le père et le fils se détérioraient de plus en plus,plus Crash grandissait et plus il se rendait compte que son père ne l'aimais pas aussi fort qu'il le pensait.Ne pouvant offrir mieux à son fils Crash fut envoyer dans l'école minable du quartier plus habile à former les voyou en tout genre que de véritables citoyen, c'est la que le jeune garçon eut ses premières expériences en termes de combat, il était naturellement doués pour sa,de plus en plus passionné par cet art il s'entraîna dans une usine désinfecté près de son école,jusqu'à développé son propres style au corps à corps,mais ce don il désirait le plus apprendre la maîtrise était celle du katana.

Un soir après avoir encore sécher les cour pour aller s'entraîner Crash rentra chez lui et sans stupeur il trouva mon père allonger ivre mort dans une ruelle qui séparait son bâtiment minable a celui d'à côté "Papa lève toi,on rentre..." beaucoup trop saoul pour pouvoir lui répondre il le fixa de son regard vitreux, il mis sont bras sur l'épaule de son fils et au pris d'un effort considérable celui-ci remis sur pieds. Crash mis difficilement la clef dans la serrure. Il étais exténué après avoir monté les six étage pour arriver jusqu'à la porte de leurs appartement, qu'il ouvris finalement.Le garçon le porta jusqu'à son lit puis alla se préparer quelque chose à manger, il ouvris le frigo et...rien, il était vide. Crash sortit dehors afin de trouver quelque chose à manger. Se baladant au hasard des rues il vis un stand de brochettes son ventre criait famine, il regarda le vendeur ambulant retourner les brochettes avec envies,puis soudain une idée me traversa l'esprit "voler!!"le garçon savait que c'était mal mais la fin fut la plus forte et il attrapa les quatre brochettes qui était sur le grill avant de partir en courant,soudain il entendis derrière lui. "Police!!!Au voleurs!!!!" Le jeune garçon avait été négligent il n'avait pas remarqué les trois policier non loin de là. Il courut aussi vite qu'il le pouvais mais il étais épuisé par sa journée d'entraînement et par son récent effort à cause de son père, un violent point de côté le saisie, il ne pouvait plus courir, Crah tourna alors dans une ruelle espèrent se cacher, il se planqua entre les cartons et les poubelles et me mis à manger ses brochettes, elles étaient délicieuses,mais il fus éclairé par une lampe torche, il leva la tête un des trois policiers le regardait d'un air mauvais.

Crah fut emmener au poste de police et placer dans une cellule avec différents types un peu bizarre, un policier vint le voir "On n'arrive pas à joindre ton père,tu vas devoir rester ici,désolé..." Désolé,il n'en avait pas du tout l'air maisCrash s'en fichait, puis le jeune garçon entendis un bruit derrière lui.

Taulard1:Hè pssss,gamin

Crash:Quoi tu veut quoi toi!!!

Taulard2:Bah dit-donc on te tient tête mon gars

Taulard1: Ah ouais tu va voir morveux!

Il s'approchait vers le jeune garçon avec la ferme intention de lui faire regretter son arrogance, il voulut envoyer un coup de poing et plein visage à Crash, ill esquiva sans aucun souci en écartent le haut de son corps un peu sur la droite,le poing du taulard tapa avec force contre les solides barreaux en fer,on entendit un craquement, ses doigts s'étaient cassé et il hurla de douleurs.Crash lui mis un violent coup de genou dans le ventre ce qui eut pour l'effet de le plier en deux puis il lui attrapais son T-shirt au niveau du dos et le tira violament vers lui sur le côté avec un telle force que la tête du taulard passa entre les barreaux. Crash afficha un petit sourire mauvais en regardant le second taulard qui le regardait lui d'un air appeuré et il se mis à crier.

Taulard2:Hé !!!Officier!!!!Sauver moi je ne veut pas être plus longtemps avec ce gamins!!!!

Un policier arriva et explosa de rire en voyant le taulard en train de pleuré et l'autre dans les vapes la tête d'un côtés des barreaux son corps de l'autre,puis il s'en alla.

Taulard2:Non s'il te plait ne me fait pas de mal!!!

Crash:Laisse moi tranquille,c'est tout ce que je veut!!!

Puis le garçon tourna la tête et aperçut un troisièmes homme dans l'ombre,il souriait

Taulard3:Pas mal petit,si un jour tu veut en apprendre plus vient me voir...

Il tendit un carte,puis soudain un policier ouvrit la porte et dit

Policier:Petit,tu peut rentrer le vendeur n'a pas porter plainte.

Crash rentra chez lui en pensent à cet homme étrange, Le garçon éxamina la carte, il n'y avait que l'adresse d'un bar mal famé...un bar de Yakuza.Le lendemain au lieux d'aller en cour il se rendit à l'adresse sur la carte. Le videur le laissa passer sans problèmes quand Crash lui montra la carte. Pus iql sentretenue alors avec l'homme qu'il avais vu hier en prison, il proposa de former le garçon aux divers art du combat.Mais quand il lui parla de lui apprendre à manier le katana Crash ne pu refuser.

Le père de Crash mourut un jour suite à une trop grande dose d'alcool dans le sang,le garçon se retrouva seul et sans argent, il choisi donc d'accepter l'offre du Yakuza et passa donc les années suivantes à être former au combat par les Yakuza.Son style au sabre était devenue légendaire,ainsi que celui du corps à corps,il étais à 16 ans les meilleurs garde du corps du seigneur de la pègre locales.Un jour il reçut comme mission de se rendre dans une maison "abandonné" et de la brûler,c'était comme avait dit le Boss "rendre service à la communauté".

Le jeune homme se rendit sur place avec trois cocktails molotovs et les jetas dans trois fenêtres différentes de la maison, elle pris feu très rapidement,Cras se retourna près à partir quand tout à coup des gens sortirent par la portes,la maison n'était pas abandonné elle était habité par un famille,qui devait de l'argent au Boss,puis soudain le cris d'une petite fillese fit entendrer et sa mère en larmes criat "Mon bébé,il est coincé en haut!!Je doit aller le chercher!!"
Son mari tout en la retenant de force dit "On ne peut plus rien faire pour elle,la maison est en feu...."

Sans réfléchirCrash courut vers la maison et entra en trombe dedant il monta les marche quatre à quatre,puis se retrouva devant la chambre de la petite fille.Il ne pouvait pas passer le feu le bloquait,il pris de l'élan et sauta au travers de flamme et se retrouva de l'autre côté après avoir effectuer une roulade au sol pour amortir sa chute. La petit fille se tenait dans un coin et pleurais je l'attrapa par la taille,pris la couverture qui se trouvais sur son lit et la recouvrit avec,puis fonças vers la sortit a deux mètre de la porte,une des poutres de la maison scéda,et aplatit violament Crash au sol,la petite fille échappa des main et se retrouva dehors,elle était sauvé,puis une seconde poutre scéda et tomba juste devant la porte bloquant ainsi la sortit,le jeune homme fut entouré de flamme,il sourit, "les flammes de l'enfer,ce sont elles qui m'attendent" puisCrash sentit ses paupière devenir lourdes la fumé me rentrait dans ses poumons,et il tombat dans un profond someil.

Crash ouvirt les yeux, le soleil brillait, il se trouvais dans une sorte de jardin tout autour de lui n'était que d'or, il était allongé sur le dos, lorsqu'une jeune fille apparut devant ses yeux, elle était magnifique, de magnifiques cheveux blond recouvrait sa tête son visage était fin et marques, ces sourcils encadraient parfaitement son magnifique regard au yeux d'un bleau ocean magnifique, un ocean sur lequel Crash aurrais bien voulut naviguer pour le reste de ses jours, notre petit voyou tombat tout de suite sous le charme de cette fille.



Un instant plus tard, le jeune homme regardat tout autours de lui, tout était blanc et flou, il ne distinguais que le contour de la jeune fille, et encore un instant plus tard tout était noir...


Vous voulez connaitre la suite de l'histoire??? Peut être une prochaine fois si vous etes sages!! XD

Cela faisait une éternité que Leny
n'avait pas passé une superbe journée comme celle là...à vrai dire en
se levant ce matin, jamais elle n'aurait imaginé finir sa soirée dans
ses bras à échanger des baisés. Elle se sentait bien, elle se sentait
libérer d'un poids, elle se sentait aimée et elle aimait en retour. Leny
était heureuse d'avoir acceptée son invitation, car si elle avait trop
réfléchit, elle n'y serait probablement pas allée avec ce qu'il s'était
passé au bal....mais si elle n'était pas venue à la cabane hurlante,
elle n'aurait pas vécu ce bonheur et elle regretterait amèrement
d'avoir raté une occasion d'être avec lui.
Leny avait reçu un hibou de Dracono, lui donnant rendez-vous à la cabane...son coeur avait bondi, elle avait souri comme une fofolle et avait foncé dans son placard mettre sa cape du petit chaperon rouge, POurquoi avoir mis ça d'ailleurs????
Tout simplement parce que ça lui permettait d'une certaine manière de
vaincre cette boule qui lui gagnait l'estomac et qui l'empêchait de
respirer normalement. Oui il n'existe qu'un seul remède contre le
stress et ce remède c'est le rire, Leny avait donc revêtu cet habit pour avoir une échappatoire, un moyen de ne pas rester trop sérieuse.
La jeune fille était dans son dortoir, Dracono lui avait donné
rendez-vous dans même pas 2 minutes dans la chambre sur demande, elle c'était changée,
parce qu'il est bien évident qu'elle n'allait pas rester le petit
chaperon rouge toute sa vie. Elle avait donc enfilé une tunique
turquoise avec un pantalon noir, simple la tenue mais confortable,
c'était cela l'important. Leny allait partir quand elle sentit sa boule de cristal qui était posé sur sa table de chevet vibré et devenir toute rouge...Ohoho sa sensce dit
la jeune fille, elle allait partir en courant pour ne pas subir ça,
mais à peine avait-elle fait un mètre qu'une voix cristalline et
furieuse retentit dans tout le dortoir. le roussit
- LENY ALYSSA COLLEEN HARRYS FAIT MOI LE PLAISIR DE VENIR VOIR TA MAMAN

La
jeune fille se retourna, sa ne présageait rien de bon quand sa mère
l'appelait de tous ses prénoms, elle ne pu s'empêcher de rire
intérieurement quant elle entendit malgrès sa colère "viens voir ta
maman". Elle alla s'asseoir sur son lit et vit sa mère rouge de colère
comme le cristal en ce moment, elle se pencha sur sa boule et lui dit:

- Salut Man'

Sa mère était dans la cuisine, aïe, elle avait deviner, mais comment savait elle aussi rapidement que c'était elle.

-
ALORS COMME SA ON VOLE SA PROPRE FAMILLE MADEMOISELLE...C'EST TU QUE
SES COOKIES ETAIENT DESTINES A LA FETE ANNUEL AU MINISTERE DE LA
MAGIE????? HEUREUSEMENT QUE JE POSSEDE DES POUVOIRS MAGIQUES ET QUE
J'AI PU EN REFAIRE AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD. J'AIMERAIS DES
EXPLICATIONS, PARCE QUE TU VOIS, T'EN AS QUAND MEME PRIS UNE VINGTAINE.

Leny
regarda sa mère et fit sa petite moue habituel, qui marchait en général
très bien, éspèrons qu'elle fonctionne encore une fois car sinon la
jeune fille était mal, très mal.

- Heu...comment ta
deviné que c'était moi???...je t'assure que de toute manière c'était
pour une bonne cause...c'était...hum...une question de vie ou de mort.

Sa mère ne pu s'empêcher d'éclater de rire en entendant sa fille, elle la connaissait trop bien tout simplement.

-
MA FILLE TU NE CHANGERAS JAMAIS...QUAND TU ETAIS PETITE ET QUE TU ME
VOLAIS DES GATEAUX, TU LAISSAIT TOUJOURS LE COOKIE QUI N'AVAIT PAS DE
CHOCOLAT POSER SUR LA TABLE...JE TE FAIS CE PIEGE DEPUIS DES ANNEES ET
SA MARCHE A TOUS LES COUPS CAR LE PETIT COOKIE EST ENCORE SUR LA
TABLE....AH ET J'AIMERAIS BIEN CONNAITRE CETTE HISTOIRE DE VIE OU DE
MORT.

Oula -_-' sa mère était beaucoup trop maligne,
c'était pas bon pour elle sa, a l'avenir il fallait qu'elle se méfie,
et qu'elle prenne tous les cookies, même le tout pas beau aux céréales^^

-
Hé bien tu vois...j'avais rendez-vous....avec un ami...et euh sa se
fait pas de venir les mains vide....c'est toujours toi qui me l'a
appris. Elle lui refit sa tête de chien battu

Sa
mère reprit sa couleur de peau normale^^...elle passa du rouge écarlate
au blanc cassé, ce qui rassura tout de suite la jeune fille qui avait
eu peur d'avoir une maman tomate pour le restant de ses jours.

- Ohhh...avec un garçon Sa mère souriait...ah dans ce cas, sa va...ravie de t'avoir aidée, mais dis moi, il a aimé au moins??????

Leny lui fit un grand sourire, décidèment elle ne changerait jamais

- Oui maman il a adoré, voyons tes cookies sont toujours un délice, a ton avis pourquoi je te les voles^^ Leny regarda sa pendule, elle était déja en retard...euh on en reparle plus tard tu veux...parce que là je dois filé

Sa mère rigola avant d'ajouter:

-
Tu va le voir hein c'est sa??? n'oublie pas que même si tu est a
Hogwart sa ne m'empêche pas de garder mon sixième sens intacte. Elle
lui souriait, sa mère était heureuse que sa fille puisse réouvrir son
coeur a quelqu'un, elle l'avait fermé depuis si longtemps... Tu est resplendissante ma chérie...pas de bêtises hein??? allez je t'embrasse fort, amuse toi bien.

Leny
embrassa sa boule de cristal et l'image de sa mère disparu, ah qu'elle
détestait son sixième sens, a cause de lui elle avait été punie de
nombreuses fois et elle n'avait jamais pu mentir a sa mère, jamais.
Elle soupira, sa aurait pu être pire. Assez parler, la jeune fille
était très en retard, elle débala les escaliers a une vitesse folle ce
qui réveilla les quelques gryff' des environs.

- Leny ou tu va???? le couvre feu est passé, aller retourne te coucher Lui dit un jeune Gryff'

Leny leva les yeux au ciel et lui répondit énervé

- Va au lit bébé et fou moi la paix tu veux, je suis a la bourre

Elle continua son ascension dans les escaliers et attérit a la salle commune ou elle y vit Ron

- Hin Hin aucunes questions

Leny
sortit enfin du secteur gryff' et elle marcha jusqu'a la salle sur
demande. Heureusement qu'elle n'était pas loin, Leny s'approcha d'une
porte et celle-çi s'ouvrit sur son passage. Elle y entra et longea une
multitudes de pièces.

- Mon vampire tu est là?????

La journée était chaude, l’atmosphère lourde, presque insupportable. Le simple fait de fixer le cadran anguleux de l’horloge suspendue au mur d’en face demandait un effort considérable que peu d’élèves possédaient ou presque. Ceux-ci, les heureux dépositaires de ce don, étaient tous ou plutôt ceux qui se moquaient éperdument de la réaction de leur professeur, avachis sur le bois vernis de leurs bureaux respectifs. Les yeux résolument fixés sur l’aiguille des minutes qui semblait être décidée à ne pas bouger. Les autres élèves, moins hardis mais tout aussi attentifs à son déplacement, semblaient encourager leurs voisins du regard, mimant parfois des paroles réconfortantes avec les lèvres et laissant ensuite leur regard vague se perdre dans la surface lisse de leur parchemins vierges lorsque ceux-ci rencontraient le choc atroce de la fine baguette en bois du professeur d’Histoire de la Magie.
" -Plus qu’une heure et trente minutes… ", les informait parfois celui-ci, ignorant ou peu attentif au comportement de ses élèves.

Et sa marche funèbre entre les pupitres reprenait, silencieuse, macabre. Il s’arrêtait de temps à autres au bout de la classe, de sorte que tout le monde puisse le voir et se mettait à débiter toutes sortes de choses incompréhensibles sur l’Histoire ou la Naissance de Notre Héritage comme il aimait l’appeler, c’était du moins tout ce qu’Alyana avait retenu depuis son arrivée à Poudlard, des cours de son professeur d’Histoire de la Magie. Il faut dire que ceux-ci étaient terriblement ennuyeux, voire accablant et parfois même insupportables.
C’est d’ailleurs pour cela que le matin même, un conseil réunissant les élèves de quatrième et quelques cinquième années, auquel la jeune Gryffondor avait assisté, s’était tenu dans la Salle sur demande , toutes maisons confondues et ayant pour but de mettre un terme au supplice.
Après une heure et cinq minutes de débat ( les cinq minutes principalement consacrées à libérer Neville Longdubat de la substance gluante qu’il avait fait accidentellement apparaître en donnant son opinion sur le professeur avec animation ), il avait été convenu qu’à 14h25 de l’après-midi c’est à dire dans précisément deux minutes et trente secondes, la première phase d’un plan qu’ils avaient minutieusement préparé débuterait. Ce plan comme vous en douter sûrement avait pour principal but de provoquer le renvoi du professeur.
Et c’est le coup d’envoi de celui-ci que tous attendaient, les mains moites, le visage tendu et les yeux fixés sur l’horloge.

A trente secondes de celui-ci, une certaine pointe de joie euphorique se mêla à l’anxiété générale et tous s’échangèrent des regards furtifs la main étroitement serrée sur leur baguettes magiques.
Et puis ce fut le moment, un grand boum émergé de nulle part retentit si fort qu’il leur fallut presque se plaquer les mains sur les oreilles, une lumière aveuglante jaillit presque en même temps des vitraux multicolores alignés aux murs et bientôt l’on ne distingua ni n’entendit plus rien d’autre.
Alyana se laissa glisser de sa chaise et commença à avancer à tâtons sous les pupitres en bois, heurtant de temps à autres les autres élèves qui faisaient de même et tous se précipitèrent tant bien que mal vers la sortie.
Le professeur quant à lui, devait sûrement courir de gauche à droite, tenant sa baguette magique à bout de bras et hurlant incessamment des formules magiques complexes tandis qu’une meute d’élèves invisibles à ses pieds se bousculaient près de lui, manquant souvent de le renverser.

C’est tout ce que les élèves apprirent par la suite par les témoignages de chacun, mais le fait est que personne ne fut puni, l’origine du bruit comme de la lumière étant inconnue. Et ils n’eurent pas non plus à recommencer. Le professeur d’Histoire de la Magie en effet, décida de raccourcir ses cours d’une heure et trente minutes, laissant ainsi quinze petites minutes de cours qu’il passait à observer les élèves d’un air méfiant depuis son bureau.

Le directeur de Poudlard, Albus Dumbledore, aurait très certainement pu deviner que la classe toute entière était responsable de cet événement mais s’il fut mis au courant, il ne montra rien quant à son opinion sur le sujet.